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La complémentarité des médecines naturelles et conventionnelles

2 février 2010

conclusion du sondage

   Notre sondage a touché 145 personnes, 66% était des femmes et 34% des hommes. La moyenne d'âge était de 31 ans. 63% des interrogés utilisent des médecines naturelles, en majorité des femmes entre 41 et 50 ans. Sur les 91 personnes utilisant les médecines naturelles, 36 affirment utiliser l'osthéopatie (ce chiffre a été un peu revue à la baisse a cause des réponces trop vagues). Cependant sur ces 91 personnes, 90 sont satisfées des médecines naturelles mais pour l'osthéopatie il y a 39 % de l'échantillion de personnes qui sont mécontant de l'ostéophatie. Et 10 personnes nous ont répondu spontanément que les médecines conventionnelles et naturelles étaient complémentaires, ce qui n'est pas toujours le cas.

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29 janvier 2010

BIBLIOGRAPHIE

http://monosteo.over-blog.com

http://www.osteopathie.com

http://www.delajoux.com

http://passeportsante.net

http://www.bonjour-docteur.com

http://www.sante.fr

http://www.chimix.com

http://www.wikipédia.com

Livres : - Larousse médicale

           - Chimie 1ere S, édition Bréal.

           - L'ostéopathie, Techniques et exercices pour tous, éditions Eyrolles

29 janvier 2010

LA COMPLEMENTARITE ?

Les médecines naturelles et conventionnelles (avec pour précision l'ostéopathie et médecines générales) peuvent être complémentaire. Les médecins généralistes et les ostéopathes ont un point de vue et des différents avis : le patient est libre de choisir quelle méthode lui convient le mieu...

Mais ces médecines ne sont pas toujours complémentaires car l'ostéopathie présente quelques contrantes :

  • les pathologies génétiques ne sont pas des incations pour l'ostéopathie (exemple : le cancer)
  • les contre indications : - patient âgé ou ostéoporose (déminéralisation osseuse)

                                        - douleurs suspecte, à caractère permanent et surtout nocturne, qui impose un bilan complet avec radio et biologie (recherche des infections...)

                                        - blocage vertèbral complet avec raideur et douleur dans toutes les directions.

                                        - névralgie radiculaire articulaire associé : sciatique, névralgie cervicobrachioles.

                                        - douleurs traumatques récentes, qui font évoquer une fracture ou une entorse. Si les radios standars sont normales, il faut faire des clichés dynamiques en flexion-extension pour rechercher une instabilité dangereuse pour la moelle épinière.

29 janvier 2010

Un peu de chimie...

nous alons dans cette article expliquer la réaction qui c'est produit lors de la synthèse du paracétamol. Nous savons que les réactif de cette réaction sont la para-aminophénol et l'anhydride éthanoïque.

L'anhydride éthanoïque : anhydre signifie que l'on n'a supprimé une molécule d'eau et éthanoïque qu'il y a une mélécule d'acide acétique. Donc sa formation est anhydride

le para-aminophénol : ol signifie que bc'est un alcool (R-OH), phénol signifie que c'est un cycle de 6 carbone (le benzène) auquel on n'a rajouté un groupe hydroxyle et puis amino est cacractéristique des amine (NH2-R).

amino

ou  sous forme topogique

topo

le para signifie que l'amine est relié à la troisième liaison en partant du OH.

Ensuite nous savons que les amine réagissent avec les anhydrides pour former des amide dont la forme caractéristique est R-CO-NH.

La réaction:

le para-aminophénol pert un H+

perte_h_

une laison entre un C et un O de l'anhydride acétique se casse et donc il se produit deux molécule et l'une d'elle réagie avec le para-aminophénol qui a pardu un H+

r_action

Et puis le H+ et l'autre partie de la molécule réagisse ensemble pour former de l'acide éthanoïque

ac_tique

29 janvier 2010

synthèse du paracétamol

Nous nous sommes intérésseés plus préssisément sur analgésique souvent utilisé pour les douleurs du dos: le paracétamol. Pour cela nous avons synthétisé du paracétamol a partir du para-aminophénol et de l'anhydride éthanoïque.

Nous avons d'abord mélangé sous une hotte aspirante 5.5 g de para-aminophénol, 50 mL d'eau et 3.5 mL d'acide étanoïque pur.

Ensuite nous avons placé l'ensemble a bain-marie à 80°C en l'agitant à l'aide d'un barreau aimanté.

IMG_2021tpe

nous l'avons laissé jusqu'à la dissolution complète du para-aminophénol. Après nous l'avons refroidi à température ambiente grace a un bain d'eau glacée.

Sous une hotte et à l'aide de gants ainsi que des lunettes nous avons ajouté 7mL d'anhydrile éthanoïque. Puis nous l'avons remi sur le montage précédant mais cette fois à 60°C. Le paracétamol est alors synthétisé.

Après avoir synthétisé le paracétamol nous l'avons extrai. Nous avons d'abord refroidi le mélange et nous avons gratté le fond de l'erlenmeyer à l'aide d'un agitateur en verre pour amorcer la cristallisation. Ensuite nous avons filtré le mélange à vide en récupérant les cristaux pour les faire sécher sur du papier filtre.

IMG_2027refiltration_sous_vide

A la fin de l'expérience la masse de cristaux de paracétamol est de 4.3 grammes

Pourquoi chauffe-t-on à reflux ?

On chauffe à reflux le para-aminophénol et l'acide étanoïque pour éviter toute perte de matière en augmentant la température et donc la réaction est plus rapide.

Pourquoi avons nous refroidi la solution avant de la filtrer?

Nous avons refroidi la solution pour faire cristalisé le paracétamol car celui-ci est soluble dans l'eau chaude mais très peu dans l'eau froide.

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29 janvier 2010

autres méthodes

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10% des personnes ayant mal au dos ne sont pas soulagées par un traitementeux. 

   Pour ces personnes là il existe par exemple la neurostimulation. La neurostimulation est un dispositif amovible qui envoie une stimulation électrique de basse tension à la moëlle épinière par l'intermédiaire d'une électrode. La stimulation empêche les messages nerveux de douleur de parvenir au cerveau. Il existe deux types de système de neurostimulation: entièrement implanté ou avec une alimentation externe. Les effets secondaires sont rares mais il peut se créer une réaction affectieuse au système ou bien des stimulations intermitentes.

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   Il existe également la chirurgie correctrice qui consiste à empêcher le frottement entre deux vertèbres à l'aide d'une prothèse souple qui remplace le disque affaiblie. Cette prothèse agie comme un amortisseur permettant aux vertèbre de ne pas bouger entre elles et de ne pas frotter les unes contre les autres (c'est les frottements qui provoquent les douleurs lombraires). Il n'y a aucun risque neurologique.

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29 janvier 2010

les médicaments et leurs effets secondaires

Le traitement des maux de dos est variable en fonctions des causes, toutefois les médicaments les plus utilisés sont les anti-inflammatoires, les analgésique (anti douleur) et les myorelaxants. Tout ces médicaments traitent les symptôme et non les causes du mal de dos.   

    Tout d'abord les anti-inflammatoire luttent conte les inflammation générales ou local. ils sont indiqués quand l'inflammation, processus normal de défence contre les agression, devient gênante, notamment à cause de la douleur quelle provoque. Les anti-inflammatoire s'administrent par voix oral ou injectable. Ils sont réparties en deux classes: les stéroïdiens et les non stéroïdiens.

  • Les stéroïdiens ou corticostéroïdes sont des dérivés des corticoïde ( hormones naturelles synthétisées dans la zone corticale (externe) des glandes surrénales à partir du cholestérol). Ils permettent de contrôler l'inflammation quand elle est sévère ou qu'elle se déclenche sans raisons apparente. Ces médicaments sont rarement à l'origine de problèmes lorsqu'ils sont pris en traitement court. Par contre, en traitement au long cours, des effets secondaires se manifestent systématiquement. Les conséquences peuvent être variées : agressivité sur la muqueuse de l'estomac, risque de gastrie et même d'ulcère, altération de la peau, régression des défenses immunitaires, répartition anormale des graisses, fragilisassions des os, apparition d'un état diabétique ainsi que certains phénomènes de cortico-dépendance
  • Les non stéoridiens qui bloquent la formation de certaines substances comme les prostaglandines, médiateurs chimiques nécessaires au développements de l'inflammation. Ils sont surtout efficaces dans les phases aiguës de l'inflammation. Eux aussi on de nombreux effet secondaire comme l'irratation de la muqueuse digestive, le risque de gastrite, d'ulcère, le risque de dommages au foie et aux reins, la détérioration du cartilage en bloquant la synthèse du collagène et le risque de bloquer la synthèse des glyco-aminoglycanes impliqués dans la formation de plusieurs tissus articulaires.

     Et puis il existe les myorelaxants qui favorise la détente musculaire. ils servent à traiter les contractures musculaires douloureuses au cours d'affections vertébrales comme le torticolis, les douleurs du dos au niveau des vertèbre dorsales et lombaire. Ils administrés par voix oral, injectable ou sous forme de pommade. Leurs effets indésirables sont la somnolence, très rarement des troubles neuropsychique (hallucination, euphorie, confusion mental, dépression, obnubilation passagère, asthénie) et des troubles gastro-intestinaux (nausées, vomissements, diarrhées, maux d'estomac).

   Et enfin les anagésiques ou antalgiques destiné a supprimer ou à atténuer la douleur. Les analgésiques sont sont soit périphériques, agissant à l'endroit de la douleur, soit centraux agissant sur le système nerveux central. Les analgésique périphériques sont représentés essentiellement par paracétamolparacétamol ou l'aspirine. Les analgésique centraux sont des dérivés de la morphine. Les effets secondaires sont particuliers à chaque types de produits.

   

28 janvier 2010

questionnaire ostéopathe

Penses-tu qu'il existe une medecine plus efficace qu'une autre ? Si oui, laquelle ou lesquelles?

Tout dépend de la pathologie. Certaines médecines sont trés efficaces dans les pathologies vitales. D'autre médecines sont plus efficaces dans les pathologies fonctionnelles.

Que penses-tu des médecines conventionnelles ?

Hyper efficace pour les urgences vitales. Parfois efficace pour les pathologies organiques. Pas efficace pour les pathologies fonctionnelles.

Existe-t-il des risques de diagnostiques ? Des effets secondaire en ostéopathie ?

Il existe des contre indications surtout à certaines techniques ostéopathiques. Il existe toujours un risque d'ignorer un diagnostique d'urgence madicales. Fatigue aprés la séance.

L'ostéopathie guérit-elle à chaque fois ?

L'osteopathie ne guérit pas, elle aide le patient à guérir. Certaines pathologies ne sont pas des indications pour l'ostéopathie (exemple : le cancer). L'ostéopathie ne soigne pas une maladie mais un patient.

Quand on te dis mal de dos, à quoi penses-tu ?

Est-ce un problème pour ostéopathe ? Le symptôme est comme un vase qui déborde : l'important est plus ce qui remplit la vese plutôt que ce qui fait déborder.

Existe-t-il de la prévention en ostéopathie? Si oui, quel(s) conseil(s) donnerais-tu pour le mal de dos ?

Le but de l'ostéopathie est d'améliorer la santé de son patient au sens large. C'est en cela que l'ostéopathie est préventive. Les conseils sont donc adaptés à chaque cas.

Que dirais-tu aux personnes qui ont peur du "thrust" (craquements) ?

La technique qui fait craquer est une parmis d'autre. Si le patient à peur du craquement, il ne se relâchera pas et la technique sera difficile. Si un patient à peur, il suffit de le dire et l'ostéopathe adaptera une autre technique.

Que penses-tu du sujet choisi ? De notre approfondissement du thème ?

Le sujet est complexe car la santé est complexe et . Votre apporndissement démontre toutes les portes que vous avez entre ouvertes.

La complémentarité est-elle possible? ou Quelle est la meilleur solution?

Bien sur que la complémentarité est possible car plusieurs réponses peuvent apportées à une même problème. Il faut que chacun soit conscient de ses possibilités et de ses limites. Le patient est aussi suffisament adulte pour faire ses choix.

27 janvier 2010

L'OSTEOPATHIE ET SES TECHNIQUES

Pour une lésion ostéopathique (zone d'hypomobilité), par exemple entre deux vertèbres. Pour la corriger, il y a deux voies possibles :

Les techniques fonctionnelles (indirectes) utilisent la fonction particulière d'un tissu anatomique (muscle, aponévrose, ligaments ou des fascias) pour améliorer une structure en lésion.

-> Les techniques de "soft tissues" : toute tension ostéopathique qui se traduit par une hypomobilité articulaire s'accompagne d'une tension réflexe de tous les tissus péri-articulaires. Mobiliser ces tissus, les étirer, les vasculariser, les drainer, c'est les détendre. Plus on les détend de façon profonde, toujours en respectant la règle du confort et de la détente du patient, plus on s'approche de l'articulation en lésion. Quand tous les tissus mous ou "soft tissues" ont été étirés, détendus, quand ils sont relâchés, l'articulation hypomobile peut être libérée par une manoeuvre plus directe comme un ajustement ou un thrust.

-> Le rolfing : technique de mobilisation transverse et profonde des fibres qui peut utiliser le pouce, le poing et même souvent le coude. Ces manoeuvre visent à défribroser certains muscles et leur aponévroses.

La deuxième est cependant plus directe (traitements structurels). Elle utilise l'élément en lésion pour le libérer des contraintes qui l'immobilisent. C'est ce qu'on appelle une manipulation ou plus précisément, un ajustement articulaire.

-> La mobilisation directe à long levier : cette mobilisation permet d'appliquer une force directe sur la vertèbre hypomobile. Le levier utilisé se trouve à distance de la zone de restriction. Ce peur être l'épaule ou le bassin, le crâne parfois.

-> La technique de lift : cette technique se pratique avec la personne concernée assise et le praticien derrière elle. Ce dernier la soulève en utilisant la force de ses jambes. Cette manoeuvre, axiale par rapport à la colonne vertébrale, utilise un levier long, une grande vélocité et une trés faible amplitude sur l'articulation en lésion. C'est d'ailleurs souvent une lésion avec un dgré important d'impaction. Ce qui signifie que les surfaces articulaires vertébrales sont trop imbriquées et réduisent la liberté de mouvement souhaité à ce niveau. Elle se pratique souvent pour une hypomobilité costale haute, au niveau de la charnière cervico-dorsale.

-> Le toggel : c'est une manoeuvre de rebond, à haute vélocité et faible amplitude. Les deux mains du praticien, l'une sur l'autre, exercent une pression mesurée et la relâchent rapidement. C'est une technique élective ppour le sacrum, à savoir l'articulation entre l'occiput et la première cervicale, mais aussi à d'autres niveaux.

-> Le thrust ou ajustements articulaires : c'est une autre manoeuvre, à haute célocité et faible aplitude. Ces manoeuvres s'intéressent plus particulièrement aux articulations autrefois appelées les manipulations articulaires.

17 décembre 2009

Différents mal de dos

Lombalgie : La lombalgie est une douleur située au niveau des vertèbres lombaires, au bas du dos (en dessous de la dernière vertèbre qui porte une cote (les vertèbres concernées vont de D12 à S1). Les douleurs venant de la lombalgie peuvent descendre sur les fesses, l'arrière des cuisses, jusque derrière les genoux. Il existe deux types de lombagies : les lombalgies dues à une maladie, ou lombalgies symptomatiques. et les lombalgies "seules" ou lombalgies communes.

Lumbago : c'est une contracture musculaire aiguë dans la partie lombaire de la colonne.

Sciatique (névralgie du nerf sciatique) : c'est une douleur touchant une partie (ou la totalité) de la jambe. Celle-ci suit un trajet bien défini selon la racine nerveuse touchée (par exemple : racine nerveuse L5, ou S1). La douleur est due à l'irritation de la racine nerveuse (lésion de la racine nerveuse antérieure du nerf sciatique) suite aux causes suivantes : hernie discale, canal rachidien trop étroit, décalage entre deux vertèbres. La sciatique est une conséquence de la hernie discale.

Hernie discale : c'est une pathologie des disques invertébraux touchant par conséquence les vertèbres et les racines nerveuses. Le disque invertèbrale est constitué d'un noyau pulpeux (qui équilibre les charges) enserré par un anneau fibreux (maintient celle-ci entre les deux vertèbres). L'anneau fibreux peu se fragiliser, et expulse la pulpe qui la contient, en se romptant : c'est ce qu'on appelle la hernie. Cette rupture est due à une mauvaise position, un faux mouvaent, un traumatisme sportif. De plus que si cette pulpe se trouve dans la partie postèrieure du disque, elle dégage des enzymes qui ont un pouvoir d'inflammatoire irritant le nerf rachidien. Et si par la suite il y a contact avec le nerf rachidien et la hernie ce phénomène doit être entretenu.

Scoliose : c'est une déformationde la colonne durant la croissance. Il existe deux types d'affections : la scoliose vraie (déformation en inclinaison latérale et en rotation des vertèbres) et l'attitude scoliotique plus fréquente mais moins grave (déviation latérale de la colonne), celle-ci peut se corriger. La scoliose entraîne une gibbosité (scoliose thoracique), une asymétrie de la ligne médiane, que l'on peut voir lorsque le patient se penche en avant. Si non traitement de la scoliose, elle s'agrave jusqu'à la fin de la croissance et provoque des problèmes respiratoires.

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